Cyberpunk 2077: Dog Eat Dog – Un Coup d’Œil Approfondi

L’extension Phantom Liberty de Cyberpunk 2077 introduit des personnages captivants et des intrigues complexes, dont une mission marquante intitulée “Dog Eat Dog”. Cette mission sert d’introduction viscérale à Dogtown, un quartier de Night City autonome et contrôlé par le tyran Kurt Hansen. Elle pose les bases des thèmes majeurs de l’extension : la loyauté, la trahison et la survie dans un monde impitoyable.

L’histoire commence avec V et Songbird, l’alliée mystérieuse de V et agent de la FIA. Leur avion est abattu au-dessus de Dogtown, les plongeant directement au cœur du danger. “Dog Eat Dog” met immédiatement en avant la nature hostile de Dogtown. Des milices armées patrouillent les rues, les bidonvilles croulants abritent des dangers omniprésents, et la loi est inexistante. C’est un terrain de jeu pour les plus forts, où la violence est la monnaie courante.

La mission force V à naviguer dans cet environnement brutal pour survivre et atteindre un objectif : trouver une sortie et contacter des alliés. On est confronté à des choix difficiles, souvent sans bonnes options. Faut-il faire confiance à des inconnus ? Utiliser la force brute ou la ruse ? Chaque décision a des conséquences, contribuant à l’immersion dans le récit. L’exploration de Dogtown durant cette mission révèle des détails sur son histoire et sa structure de pouvoir. On découvre le règne de terreur imposé par Hansen et l’oppression subie par les habitants.

Un aspect important de “Dog Eat Dog” est son introduction de Solomon Reed, incarné par Idris Elba. Reed est un agent de la FIA vétéran, et son apparition marque le début d’une relation complexe et potentiellement conflictuelle avec V. Il représente une facette de la loyauté envers les idéaux nationaux, un contraste saisissant avec la réalité désespérée de Dogtown et la moralité grise des protagonistes.

La mission est une excellente illustration du gameplay de Cyberpunk 2077. Le joueur a la liberté d’aborder les situations de différentes manières, que ce soit par le combat direct, l’infiltration ou même le dialogue. Les options de dialogues offrent des aperçus sur les motivations des personnages et permettent d’influencer le déroulement de l’histoire, bien que dans des limites définies par le récit principal.

En conclusion, “Dog Eat Dog” est plus qu’une simple mission d’introduction. Elle établit le ton sombre et désespéré de Phantom Liberty, présente des personnages clés et offre un avant-goût du gameplay varié et des choix moraux cornéliens qui attendent V à Dogtown. C’est un véritable plongeon dans les abysses de Night City, où seuls les plus rusés et les plus impitoyables survivront.